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jeudi 1 mai 2014

LE BALLET DE FLORE DE LULLY AVEC LES COSTUMES DE DANIEL OGIER CRÉÉS POUR DES PRODUCTIONS AU THÉÂTRE DES CELESTINS DE LYON



Jeudi 24 Avril 2014 20h30, Théâtre des Cordeliers à Romans, (Entrée libre sans réservation)
Mardi 22 avril 2014 à 20h, Théâtre Bel Image à Valence. (Entrée libre sur réservation au Crd de Valence 04 75 78 50 80 à partir du lundi 14 avril)
Projet des Départements de musique ancienne, danse et chant des Conservatoires de Romans et Valence.
Sur une proposition d'Emmanuelle Cassard, professeur de Harpe à Romans, les Conservatoires de Romans et de Valence unissent leurs forces pour tenter une recréation du ballet de Flore de Lully, autour d'une proposition chorégraphique de Jean Marie Belmont et Anouk Mialaret, spécialistes de la danse baroque.
L'Oeuvre :
Dernier ballet que dansa Louis XIV et ultime représentant du ballet de cour traditionnel, le Ballet de Flore fut créé dans le grand salon des Tuileries le 13 février 1669.
Dans l'oeuvre de Lully, ce ballet représente donc une avancée importante vers l'opéra.
Représenté pour célébrer le retour de la paix en Europe, le divertissement était tout entier à la gloire de Louis XIV, dont ce fut l'une des apparitions en soleil sur la scène.
L'argument du ballet, en 15 entrées est celui de la métamorphose de Flore, déesse du printemps, sur un poème d'Isaac de Benserade.
Les costumes sont signés Daniel Ogier, (et proviennent d'un dépôt fait par la Ville de Lyon à l'association "La chapelle de Romans ") qui avait réalisé ceux de la Serva Padrona l'an dernier. Le plateau rassemblera plus de cent apprentis artistes, musiciens de tous âges, chanteurs, danseurs, dirigés par Marie-Hortense Lacroix. Cette réalisation collective s'est faite grâce à la collaboration d'une équipe de professeurs de Romans et Valence : Emmanuelle Cassard (coordination), Annie Pérard, Alexandra Jasseny (danse), Agustina Merono, Esteban Gallegos, Véronique Méjean, Wanda Kozyra, Hélène Tisserand, Odile Dovin-Morel, Ombeline Challéat, Frédéric Mourguiart (instrumentistes et chanteurs) 

Arrivée des costumes transportés par Pierre et Martine Philibert membres de l'association accompagnés d'une amie, aidés par d'autres membres comme Eric Chabert, Jean Pierre Devoize, Aurélien et Alain Guichet et Paquita Nieto.



SÉANCE D'ESSAYAGE AU CONSERVATOIRE DE ROMANS :



 Les  essayages, corrections et mis à la taille des costumes sont réalisés par des membres de l'association "LA CHAPELLE DE ROMANS" Malika Mihoubi, Paquita Nieto et Daniel Ogier.




Daniel Ogier et Philippe Blache dans le rôle de duc  de Mantoue ( Rigoletto)



    Françoise Bessette
                                                       Marie-Hortense Lacroix directrice du Conservatoire de Romans et chef d'orchestre, Daniel Ogier et Astrid de Belleville dans le rôle de Gilda ( Rigoletto)




Daniel Ogier et Anne-Marie Gibert 


Anne-Marie Gibert dans le rôle de Maddalena ( Rigoletto)




Rodrigue Beeke dans le rôle de l'hiver ( ballet de Flore)


5 minutes avant l'entrée sur scène




Le théâtre affichait complet lors de la réprésentation à Romans





Pour les saluts les professeurs sont aussi montés sur scène sous les applaudissements du public



vendredi 1 novembre 2013

PARI GAGNÉ POUR LA PREMIÈRE EXPOSITION "PIÈCES D'IDENTITÉ" PROPOSÉE PAR LA CHAPELLE DE ROMANS

GRAN ÉXITO DE LA PRIMERA EXPOSICIÓN "DOCUMENTOS DE IDENTIDAD" PROPUESTA POR LA CHAPELLE DE ROMANS:



LES COMMISSAIRES DE L'EXPOSITION


           Daniel Ogier                           Jorge Rodríguez de Rivera


PARCOURS PHOTOS DE L'EXPOSITION:







POUVOIR, POUVOIR,
QUAND TU NOUS TIENS.......


Empereurs, papes, princes, généraux, tous arrivés au pouvoir veulent fixer pour l’éternité leur image et se font metteurs en scène de leur identité.
Cependant les habitudes, les moeurs, les traditions, toutes choses dans lesquelles ils baignent, leur soufflent, parfois à leur insu, quelques détails insolites, et le peintre parfois y participe.
Dans l’apparat le plus solennel les détails étranges font l’objet d’une enquête qui peut faire vaciller les certitudes car “La soif de dominer est celle qui s’éteint la dernière dans le coeur de l’homme” (Nicolas Machiavel).
Durant tout le Moyen Âge l’homme vit sous la dépendance autoritaire du divin, central et incontournable.
Il ne trouve qu’une petite place de donateur ou d’orant dans un coin d’une oeuvre d’art votive qu’il paie à prix d’or. Mais c’est pour ce prix d’or qu’il grandit jusqu’aux prémices de la Renaissance et finalement occupe toute l’image. En occident le portrait est né avec l’humanisme et l’économie moderne.
Notre époque ignore ces codifications et leurs erreurs car notre identité est un produit volé à notre intimité par des mitraillages répétitifs qui ne visent qu’à confirmer, heure après heure et artificiellement, notre existence. Nous sommes devenus les paparazzi les uns des autres.







MILITAIRES, RELIGIEUX ET ENFIN...... BOURGEOIS.



Voici, après les puissants, les différentes facettes de l’ancienne société dont le panorama servira de base avant de continuer sur d’autres pistes.
Nous avançons dans le temps et dans les fonctions et, petit à petit, les signes et les couleurs disparaissent pour finir dans la discrétion funèbre de la bourgeoisie du XIXème.
“Enrichissez vous” disait Monsieur Thiers.
Voilà un vrai investissement qui ne leur laisse que leur masque: ors, bijoux, velours, perruques, dentelles. En un siècle tout est parti dans la course matérialiste, le décor a fondu, le roi est nu. Discrète dans le costume, la république récupérera tout de même les palais princiers et un train de vie presque monarchique.







CHARME, ARME SECRÈTE...


Après la puissance du pouvoir, celle des militaires, ou de la religion, penchons nous sur un des aspects non négligeable du portrait: le charme.
On peut tomber amoureux d’un portrait, mais à l’époque était-ce la première marche d’une conquête?
Ces belles femmes au sourire enjoleur savaient très bien les ravages qu’elles pouvaient déclencher à distance dans les coeurs, des coeurs choisis avec stratégie, bien sûr.
Le portrait est envoyé dans toutes les Cours ou familles parfois à l’autre bout de l’Europe. Les peintres sont de grands voyageurs, de la Russie, à l’Empire Turc ou même au Japon, tout comme leurs clients qui font le “Grand Tour” (de là, le tourisme) visitant les pays  sous de fausses identités comme en 1782, sous le nom d’emprunt de “Comte du Nord”, le grand duc de Russie et futur Tsar  Paul 1er.
Les ambassadeurs ottomans demandent à voir Madame de Pompadour en privé avant de présenter leurs lettres de créances au roi Louis XV: ils voulaient voir la plus belle femme du royaume.
Notre époque moderne donne un retentissement mondial à ces icônes féminines, mises en avant par leurs conjoints dans des buts parfois politiques où leur influence est parfois importante comme Eva Peron, Jackie Kennedy ou Diana, la plus atypique.



BIZARRE, BIZARRE, VOUS AVEZ DIT BIZARRE?...


Si des artistes visent à fixer avec le plus d’exactitudes possible, par des moyens figuratifs impressionants, la réalité du modèle, il en est d’autres qui se laissent prendre au jeu d’étranges comportements: déformations, symboles, effets de matière ou d’optique, délires inexplicables qui font disparaître le cher modèle au profit d’une création dans laquelle, malgré tout,  on retrouvera “bizarrement” les caractéristiques de ce dernier.
Dans cette optique, plusieurs tentatives, visant à fixer le sous-jacent étrange derrière une normalité de façade, ont été faites.
Au XVIIème siècle, le peintre du roi Le Brun dessine une typologie des visages déduite de gueules animales; certains seraient proches du cheval, du lion ou d’un oiseau, comme le montre ces dessins qui veulent faire entrer de force le bizarre dans le naturel ou le contraire. L’extraordinaire travail de l’autrichien Franz Xaver Messerschmidt (1736-1783) sur des têtes de caractère, nous entraine aux frontières de la folie.
Le suisse Johann Kaspar Lavater (1741-1801) théorisera le travail du sculpteur dans un ouvrage célèbre: “l’art de reconnaître les hommes par la physionomie”, dans la tradition et la suite des ouvrages arabes ou italiens de la Renaissance. On croit pouvoir tout expliquer de ce qui est le plus grand théâtre du monde, le visage humain et même
“La signification des protubérances du crâne, relative aux facultés et qualités de l’homme”, bizarre, bizarre.....








DE L’INVENTAIRE COLONIAL.....



Lorsqu’à l’époque romantique les artistes comme Delacroix voyagent en Afrique du Nord, ils découvrent un monde de couleurs et de lumières bien différent de la France de Monsieur Thiers, où leurs sentiments romantiques sont étouffés. L’idée d’infériorité de race ou de valorisation de la société occidentale ne s’oppose pas encore à la fascination de nouvelles cultures.
Cependant en même temps que l’industrialisation établissait peu à peu le culte de l’argent, après 1830 et des trois glorieuses, l’intérêt change. Il y a une mise en demeure pour ces peuples nouvellement découverts d’adhérer à  nos valeurs: la notion d’inventaire (il y aurait donc un prospecteur habilité à lister?) remplace la fascination, l’homme fort civilisé prend forme face au sauvage destructuré: les zoos humains des expositions coloniales prolifèrent dans toute l’Europe, Paris, Marseille, Londres, Amsterdam voient se construire derrière les grilles de faux décors pour des vrais indigènes importés pour figurer devant des milliers de visiteurs.
Nous avons choisi de rappeler cette période lamentable mais en montrant quelques portraits d’artistes qui ont su, par contre, garder un regard humain sur ces civilisations au début du XXème siècle.







 AU TÉMOIGNAGE DES VISAGES....


Les photographes feront par la suite un travail extraordinaire  en toute humilité et dans l’admiration de ces pays lointains, redonnant une bouffée de romantisme avec les couleurs et les lumières de Delacroix mais sur papier glacé.
“Je réponds ordinairement à ceux qui me demandent la raison de mes voyages que je sais bien ce que je fuis, et non pas ce que je cherche” (Michel de Montaigne)





ÉCRIS ET DÉCRIS MOI................



Le monde des peintres, des musiciens et des écrivains est plein de rencontres extraordinaires: c’est de l’art, car l’art peut être aussi un comportement. Rien d’étanche, rien d’interdit, rien d’impossible dans cette galaxie d’énergie en perpétuel mouvement. Ne soyons donc pas étonnés qu’un peintre (Michel Ange) compose des sonnets magnifiques, qu’un écrivain (Victor Hugo) dessine des paysages fantastiques, qu’un sculpteur (Benvenuto Cellini) nous livre ses délirantes mémoires d’un génie de la Renaissance. Voici donc des rencontres entre des écrivaints et des personnages historiques ou contemporains, entre illustrateurs et hommes de lettres. Mais cette ruche, sous l’effet de quelques maladies environnementales, perd de jour en jour ses ouvriers, et à l’époque de la communication forcenée, peu échangent, entre eux, barricadés dans leur égo.







MASQUES DE CARNAVAL

“Masque pour le carnaval” par Erhard Stiefel pour le film “Molière” de Ariane Mnouchkine (1976)
résine et polystyrène peint.
Collection privée Paris


“Masque d’Arlequin” par Nicole Princet  carton, tissu, verre et peinture.
Collection privée Paris


“Masque vénitien traditionnel”
 carton noir, modèle du XVIIIème siècle.
Collection privée Paris

On n’échappera pas à Romans à une présentation de quelques masques de carnaval qui sont des portraits aux identités renversées, le pauvre devient roi et le nanti joue le misérable, chacun se lachant et se cachant derrière un nouveau visage en carton peint, fait ce que sa position ne lui permet pas hors du carême. L’image entière de la société, son portrait officiel, est alors perturbé jusqu’à l’affrontement violent du carnaval de  Romans en 1580.



LES MINI - ENVAHISSANTS...

Sorte de Gremlins, ces petits monstres si mignons avec leur fourrure et leurs grandes oreilles, les mini envahissants  peuvent dériver du portrait et n’ont de raison d’être que leur prolifération, souvent pleine d’arrières pensées.
De la pièce de monnaie romaine au dollar américain, des timbres aux médailles, ils étaient et sont par milliers dans nos poches et sous nos yeux pour toujours répéter le portrait du pouvoir et les taxes ou messages qui les accompagnent.
Parfois les minis sont plus sentimentaux comme les miniatures, ou satyriques comme les silhouettes mais ils restent toujours les champions de la circulation du portrait de haut en bas et d’un bout à l’autre de la société.




OBJECTIFS....


Dès son arrivée, la technique photographique fait bon ménage avec les autres médiums; elle les reflète, les complète, les répète. À l’époque de l’impressionisme les peintres font  leurs propres photographies pour ensuite réaliser leurs tableaux comme Caillebote et Degas et vice-versa, les photographes sont peintres comme Jacques Henri Lartigue (1894-1986)
La photo d’art copie le portrait mondain et même les anciens styles de peintures tandis que de nouveaux marchés s’ouvrent; le reportage sur les célébrités ou les événements mondains gagnera les sports et la vie politique. L’objectif témoigne de tout avec frénésie; l’identité est (avant de devenir la photo d’identité) la pièce centrale de cette prolifération de millions de visages sous les flashes de cette nouvelle invention.

 




FAMOUS, CÉLÈBRE, BERÜHMT ET FAMOSO......



La célébrité est un phénomène à géométrie variable dont l’ampleur est relative suivant les époques et les pays. De la célébrité absolue, mondiale, icônique, qui grandit d’heure en heure: la Joconde, Marilyn, Obama, à la célébrité dans un milieu, un cercle des spécialistes, on trouvera des gammes infinies de causes et d’objets; certains seront célèbres pour leur vie, d’autres pour leurs oeuvres, d’autres sans raison si ce n’est le destin qui les a propulsé malgré eux sur un terrain riche en événements.
Nous avons choisi quelques exemples classiques du monde de l’art et du spectacle.
L’explosion des médias change totalement cet aspect de la célébrité: ce ne sont plus le talent, le génie, l’intelligence qui sont mis en évidence mais l’individu transformable en un produit de consommation, valeur ajoutée à un parfum, une voiture, un soda. Progressivement la célébrité n’est plus qu’une caution à une politique ou un système social
(voyez les voyages des stars en Union Soviètique durant la guerre froide ou ceux des actrices d’Hollywood sur les champs de bataille américains)
Le monde des marques utilise les célébrités à tel point que la question se pose de savoir si ce n’est pas le produit qui finalement est devenu la star comme dans le cas des célèbres chaussures à semelles rouges de Louboutin.
 Ex. les films “Paris à tout prix”, “The bling ring”.....











 TU ME PEINS, JE TE PEINS PAR LA BARBICHETTE.....


Dans leurs perpétuelles interrogations les artistes trouvent face à leur miroir, un champ d’investigation sans fin et les autoportraits ont toujours été sources de chefs d’oeuvres à répétition comme pour Rembrant et Van Gogh. D’autres fois ils se prennent pour modèles les uns les autres, soit parce qu’ils vivent en phalange à la Villa Médicis ou à la Ruche, soit par amitié ou hommage.
C’est aussi dans ces réunions de peintres l’occasion de faire des exercices de recherche en toute liberté puisqu’ils sont à la fois auteurs, commanditaires, et modèles.
Courbet nous donnera dans ce sens une série d’autoportraits en dehors de toute convention d’un goût romantique teinté de bizarrerie: à la pipe, au chapeau, les cheveux tirés en arrière, le regard fou ou dans l’ombre totale.
À Florence les grands ducs de Toscane prendront l’habitude de commander des autoportraits à tous les peintres, constituant ainsi dans le célèbre “corridor de Vasari”, qui traverse l’Arno et relie les Offices au Palais Pitti, une collection extraordinaire de 200 oeuvres majeures.







DANIEL OGIER
(Bourg-de-Péage 1945)

“Oratoire pour les inconnus qui ne seront jamais...”
                          Sept. 2013
Tête de cire, tissu noir, photographies, cube de verre et carton

Ce petit oratoire placé au début de l’exposition “Pièces d’identité” propose, en contrepoint aux multiples visages réunis à cette occasion, une réflexion sur les millions d’êtres humains disparus de notre mémoire. Tous ont vécu à leur place un rôle dans l’aventure humaine, mais nous ne sauront jamais si leurs vies ont modifié le cours de l’histoire et dans quel sens. Le visage voilé est caché, sans l’être vraiment, et il semble contempler dans l’urne du destin les photos de ceux qui l’ont précédé ou le suivront dans la chaîne de la vie : la chose noire présente dans toutes les oeuvres de l’artiste matérialise ces questions sans réponses.

Collection de l’artiste Romans









ANDY WARHOL
(Pittsburgh 1928 – New York 1987)

“Portrait de Marilyn”
Sérigraphie sur carton 91 x 91 cm.
2º Edition, vers 1970, édition de 250 ex.
Au dos écrit en noir “Fill in your own signature”
“Published by Sunday B. Morning”

L’oeuvre est à l’origine créée en 1962 après la mort de Marylin, d’après la photo de l’affiche du film “Niagara”. Au départ il prend des photographies en noir et blanc puis il les colorie et les reproduit par la technique de la sérigraphie. Il a fait ainsi les portraits de Marilyn, Elisabeth Taylor, Elvis Presley, Marlon Brandon, etc..
À partir de 1963 il emménage à la “Factory” et recrute énormement d’assistants qui vont faire à sa place toutes ses reproductions qui font de lui un business-man. Son idée était de produire de l’art “en masse”. Dans ces sérigraphies il est écrit au dos “ Fill in your own signature”, une manière de dire c’est vous l’artiste , vous pouvez signer l’oeuvre. Warhol stigmatise la société de consommation américaine et la standardisation des produits.

Collection privée Paris











VIDÉO SUR LE PARCOURS DE L'EXPOSITION :

                                      



INAUGURATION LE 25 OCTOBRE 2013



Philippe Drésin, Maire de Romans fait son discours entouré de Latifa Chay, adjointe déléguée à la culture, à la jeunesse et aux relations internationales, et les deux commissaires de l'exposition, Daniel Ogier et Jorge Rodríguez de Rivera.


à gauche, le président de l'association "la chapelle de Romans" Jean Pierre Devoize


                                                     

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Curiosité, découverte et étonnement dans une ambiance chaleureuse

C'est en effet le vendredi  25 octobre à 18h que le maire de Romans, Monsieur Philippe Drésin par un discours saluant cette première exposition proposée par 
"l'association LA CHAPELLE DE ROMANS" et avec la participation de la Ville ouvrait la liste que nous espérons longue des manifestations de ce type.
Après avoir confirmé son net soutient à l'association et à son projet culturel, c'était au tour de Latifa Chay de retracer le parcours de l'association, l'intégration à la vie sociale et culturelle romanaise et le projet de rayonnement régional et national à travers des productions de haut niveau.
Le public nombreux découvre ensuite la première salle où un appareil Taly émergeant d'un grand voile noir les flashe puis entre dans l'exposition où les commissaires, alternativement sur les oeuvres anciennes ou modernes leur font découvrir l'histoire de ces pièces souvent remarquables. Le photographe Raymond Meyer, présente son mur de visages du monde et la visite se continue dans un grand intêret général.
Nombreux sont ceux qui au cours du verre trés sympatique qui termine cette soirée, confirment vouloir venir revoir en tête à tête ces oeuvres de grande qualitée qui nous questionnent et nous séduisent.

VISITE GUIDÉE PAR LES COMMISSAIRES DE L'EXPOSITION










VIDÉOS DE L'EXPLICACTION DE L'EXPOSITION:


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http://youtu.be/zxMHo04rhSY




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http://youtu.be/KyCNqEi7oAg





2º partie de la visite guidée

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http://youtu.be/_1N-_YZGWYQ